Le Pansement Schubert raconte ses expériences de musicothérapie auprès d’autistes, de personnes âgées atteintes de démence et de patients douloureux et en fin de vie. Elle témoigne de l’effet bénéfique de la musique sur les personnes hospitalisées en soins palliatifs (diminution de la douleur et de l’anxiété) à travers plusieurs études cliniques et démontre l’impact positif de la musique vivante sur les malades en fin de vie, les patients atteints de la maladie d’ Alzheimer et sur les soignants ainsi que les familles. Son parcours d’art-thérapie commence en avril 2012 dans un EHPAD parisien, où elle parvient à calmer radicalement une patiente de sa douleur en jouant le thème du trio op. 100 de Franz Schubert. À cette occasion, une infirmière fait une remarque après le soin qui a pu être réalisé sereinement : « Il faudra revenir pour le pansement Schubert ». Cette expression est à l’origine du titre du livre.